Delilah Gillian Ferguson ●•• 100%

Delilah G. Ferguson

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Sujet: Delilah Gillian Ferguson ●•• 100% Dim 25 Jan - 16:03

« WHO ARE YOU ?» «Nom» Ferguson « Il s’agit en effet de mon nom de famille. Mais je vous vois déjà vous relever dans vos sièges, hausser un sourcil pour finalement me dire que « ce n’est en aucun cas un nom américain ». Quelle perspicacité ! C’est un nom anglais, très personnellement les différences de noms, de prononciation entre anglais et américains sont peu distinctes. Pourquoi croyez-vous qu’ils se comprennent si bien ces deux états ? » «Prénom(s)» Delilah Gillian « J’ai pour ainsi dire deux prénoms, le premier étant Delilah. Il faut savoir que ma mère était une pure fan de fleurs, de nature et de tout ce qui s’en suit. Mais ne voulant pas m’appeler marguerite, lilas ou autre nom de ce genre, elle a choisit un nom déjà existant mais ressemblant à une fleur ; voilà comment j’en suis arrivée à me prénommer Delilah. Pour ce qui est de mon deuxième prénom, Gillian, c’est un coup de cœur de mon père. Un jour, alors qu’il feuilletait un livre de prénoms, il est tombé dessus par hasard et en est tombé amoureux. » «Surnom(s)» ... « Je n’ai pas beaucoup de surnoms... En général c’est assez personnel, oh bien sûr il y a toujours des idiots pour m’appeler Dédé et en rire. La plupart font référence au petit cochon français des jeux à gratter... Mon père avait tendance à m’appeler miley ou smilie, car d’après lui je passe mon temps à sourire et à rire. » «Âge» 18 ans « J’ai dix huit ans, pour certains ce n’est rien... A vrai dire pour moi ça pourrait n’être qu’un simple nombre, mais en réalité c’est une année de plus que je passe sans ma mère. Je m’accroche au peu de souvenirs que j’ai d’elle, et je me dis que de là-haut elle me voit grandir. » «Origines» Anglaise « Mes parents sont anglais, ou l’étaient... Je ne sais pas trop quoi dire de ce côté-là. Ma mère avait tout de même des origines américaines, et elle adorait la vie américaine. C’est grâce à elle que je vis sur ce continent, si elle n’avait pas poussé mon père à venir y vivre, surement que je serais à croupir en Angleterre... Ou peut être serait-elle encore vivante... ? » «Groupe» Élèves (Poor Little Students) « WHO'S SPEAKING ? » «Caractère» « Tu as un sale caractère et tu as de qui tenir ! » Autant dire que cette phrase est souvent revenue aux oreilles de Delilah, c’est vrai elle a un sale caractère par moments. C’est d’autant plus vrai qu’elle a de qui tenir, sa mère était une sacré femme qui ne se laissait jamais marcher dessus, quand à son père il a passé son enfance à faire le contraire de ce qu’on lui disait de faire. Il ne fallait pas s’attendre à avoir une gentille petite fille bien sage à la maison... La petite fille qu’était Delilah, lors de son enfance, n’en faisait toujours qu’à sa tête. On lui disait de se brosser les dents, elle ne voulait pas car selon elle c’était encore l’heure de jouer ! Il fallait se coucher, elle essayait de négocier quelques minutes en plus, puis le câlin elle s’arrangeait pour qu’il dure plus longtemps avec une histoire ou simplement en trainant. Bien que très souvent son père la menaçait d’aller se coucher sans câlin, alors évidemment elle se pressait soudainement. Puis une fois couchée, alors qu’il fallait dormir, la petite fille se mettait à parler et même parfois elle se relevait et jouait dans sa chambre. Une sacré garnement cette fillette ! En grandissant, elle a appris que négocier n’est pas toujours la meilleure des solutions, de plus elle a pas mal mûrie et il faut savoir que Delilah est une demoiselle en avance pour son âge. D’ailleurs, elle a souvent eu des amis plus vieux qu’elle. Maintenant, elle trouve toujours moyen de négocier lorsqu’elle quelque chose ne lui convient pas, ou alors elle pousse à bout une personne simplement parce que les ordres qu’on peut lui avoir donné ne lui conviennent absolument pas. Parmi ses autres aspects agaçants de son caractère, il ne faut pas oublier cet air « je m’en foutiste » qu’elle prend lorsqu’une personne lui balance pleins d’horreurs à la figure. Delilah réagit comme si elle n’était pas touchée, comme si elle n’en avait strictement rien à faire, alors que bien souvent cela l’affecte. Quoi que cela dépende de la personne qui lui balance tout, si c’est une personne qui n’a aucune importance pour la jolie blonde cela ne l’affectera point. Mais imaginons que ce soit son ami d’enfance, il est fort possible que des remords la ronge ou bien même qu’elle passe une journée ou une soirée effroyable à se morfondre sur elle-même. Bien qu’en général le lendemain elle s’en va faire ses excuses, c’est un des bons côtés de Delilah, elle n’est pas rancunière et elle pardonne vite, de plus elle n’attend pas longtemps pour faire ses excuses. Une fois de plus, cela démontre que la demoiselle est assez mature pour son âge. Depuis toute petite, la demoiselle ne s’est jamais laissé marcher sur les pieds, si l’idée de l’embêtait venait à traverser l’esprit d’une personne ça n’arrivait qu’une fois. Car si on la chercher, on la trouve et très rapidement, bien évidemment en primaire et au collège, les gens ne s’attardaient pas longtemps sur son compte. Elle ne se laissait pas faire et montrait que malgré son air petite blonde et coquette, elle n’était pas une petite princesse au cœur d’artichaut. Souvent elle était respectée, ou alors on ruminait des injures sur elle mais dans son dos. Les gens qui ne l’aiment, elle n’en a strictement rien à faire. Seuls ses amis et sa famille comptent, du moment qu’elle en est entouré, plus rien n’a d’importance. Delilah apportait très souvent la joie de vivre chez elle, depuis que sa mère est morte il y a moins d’ambiance à la maison. Son papa travaille beaucoup et il la dépose presque tous les jours chez les Flint, du coup elle ne voit pas aussi souvent son père. Mais cela ne l’empêche pas de l’aimer. Comme déjà dit, la miss n’est pas rancunière et elle a bien compris que le travail dur et prenant de son père, c’est une certaine façon d’enfouir son chagrin au plus profond de lui. Souvent le soir elle entendait son papa pleurait, et en tant que gentille petite fille aimante, elle allait le voir pour le consoler avec ses mots d’enfants... Partout où elle va, Delilah s’efforce d’apporter un peu de bonheur, de sourire et de chaleur. Elle a elle-même vécu un grand malheur, alors elle sait à quel point un sourire peu réchauffer le cœur. C’est pour cela qu’elle accroche toujours un grand et chaleureux sourire à son joli visage, pour les gens ne démoralisent pas trop. Delilah est également une personne qui se marre pour rien, elle trouve de quoi rigoler dans n’importe quoi. Les gens qui n’aiment pas se faire remarquer dans la rue par des fous-rire évitent de se balader avec elle, quand aux autres... ils sont surement ravis de passer un petit moment avec elle ! Depuis qu’elle est toute petite, la demoiselle a toujours voulu défendre la cause des animaux, pour cela elle demandait toujours à son père s’il était possible de ramener tous les chats et tous les chiens errants à la maison. A son grand damne, la réponse était toujours non. Oh bien sur, elle mange de la viande, elle défend la cause des animaux qu’elle aime tant et elle ne comprend pas comment les asiatiques peuvent manger du chien et du chat... Ainsi que des insectes ! Bien que pour ces bêtes là elle ne défend aucune cause vu qu’il la répugne ! On pourrait se dire qu’avec Delilah il est dur de s’ennuyer, ce qui n’est pas faux. Mais ces temps-ci son moral à tendance à diminuer bien qu’elle continue d’afficher régulièrement un sourire sur son visage, trompeur bien évidemment. Seuls ceux la connaissant vraiment très bien pourront savoir qu’elle va de moins en moins bien, car la peur de ne pas retrouver son père ni une vie normale la hante... «Physique» « Tu es le portrait même de ta maman, quand tu ris je l’entends rire ! » Son papa lui a toujours répété depuis qu’elle est petite qu’elle ne cesse de ressembler de plus en plus sa mère. Même avant son voyage, il lui a répété encore une fois, les yeux pétillants. Delilah fait partie de cette catégorie dans laquelle les jeunes filles sont jolies, pas besoin de mettre trois tonnes de maquillage, cela ne rend pas plus beau, bien au contraire ! Par contre, elle est comme tout le monde, elle arrive à se trouver des défauts presque invraisemblables ! Elle serait bien capable de dire que ses joues tombent et qu’elle a des rides sur les fesses. Certes, c’est idiot, mais c’est Delilah. On aura beau lui dire et lui redire qu’elle est jolie, elle n’en fera qu’à sa tête, et puis de toute manière elle est à un âge où toutes les filles se trouvent moches ou presque. La jolie demoiselle a le regard vivant, vif de sa maman, ainsi que le sourire sincère. Ses yeux bleus se mettent à pétiller lorsqu’elle rigole, ou qu’elle apprend une nouvelle excitante. Au contraire, lorsqu’elle est en colère, ses yeux deviennent sombres et on pourrait presque y voir des éclairs, bien évidemment ceci est une métaphore. Elle hausse toujours les sourcils lorsqu’elle est étonnée, ceux-ci parfaitement dessinés. Elle a plusieurs sourires, lorsqu’elle rigole pour de vrai, lorsqu’elle a réussi quelque chose, lorsqu’on se moque d’elle, également lorsqu’une idée lui vient en tête, il y a aussi les sourires qu’elle fait pour paraître polie, ainsi que ceux non sincères mais trompeurs, il y aussi le sourire qu’elle fait lorsqu’elle voit ses véritables amis, puis également celui qui se dessine sur son visage lorsqu’elle est amoureuse... Evidemment, quelqu’un la connaissant vraiment bien à un point presque inimaginable pourrait décrire tous ses sourires, quand aux autres c’est nettement moins sur. Peut être seulement deux ou trois. Delilah a le visage fin, allongé et la peau veloutée et blanche. Elle bronze, comme tout le monde, lorsqu’elle se retrouve au soleil, mais tout le reste de l’année sa peau reste blanche. Maintenant nette, presque sans imperfections, bien sur encore quelques unes parfois comme beaucoup de personnes, même des personnes ayant atteint la quarantaine ont encore parfois quelques boutons. Mademoiselle Ferguson est passé par la case acné, tous les jeunes y passent, mais heureusement pour elle c’est terminé cette période là. Aujourd’hui, sa peau est donc nette, et elle se soigne toujours par des crèmes hydratantes. Surtout pas de fond de teint, d’après elle ça fait revenir les impuretés. D’ailleurs, elle se maquille peu car cela engendre les rides, pour elle du mascara, quelques fois de la poudre pour les yeux et un baume à lèvres ou du gloss suffisent à rendre une fille très jolie. Parlons de la chevelure de la miss, elle est blonde, du moins en ce moment. Elle est née blonde, comme tous les enfants, mais en grandissant sa couleur de cheveux a foncé pour finalement finir brune. A partir de ses quatorze ans, elle a commencé à se teindre les cheveux : une fois rousse, mais finalement cela ne lui a pas tellement plu, puis blonde. Très régulièrement elle se recolorait les cheveux de la sorte, si bien qu’aujourd’hui elle est blonde. Pour l’instant, car bientôt ses cheveux repousseront et comme il n’y a plus aucun coiffeur dans les décombres de la ville, Delilah risque de se retrouver mi-brune mi-blonde. Très souvent, elle les laisse détacher, mais lorsqu’elle en a marre de les avoir dans les yeux, elle se les attache simplement à l’aide d’un élastique ou d’une pince. Delilah mesure un mètre soixante cinq, ce qui n’est pas très grand. Mais sa mère n’en mesurait pas plus, tandis que son père lui mesure bien dans le mètre quatre-vingt. Mais il faut bien l’avouer, Delilah n’en a que faire de ne pas mesurer une grande taille, par ailleurs elle ne trouve pas cela très beau pour une fille lorsque celle-ci dépasse le mètre soixante quinze. Donc, sa taille lui convient, c’est le cas de le dire. La jeune femme a un corp svelte, fin, et elle fait du sport pour s’entretenir car elle trouve cela important. Oh bien sur qu’elle craque pour le chocolat, que ses pots de nutella descendent à une allure folle, mais tout en faisant du sport elle ne prend pas trop de kilos. La vérité est que maintenant elle prend particulièrement soin d’elle, car peu de temps auparavant elle avait encore des « bouées », autrement dit des hanches trop grosses qui se voyaient trop sous le pantalon, un ventre un peu rebondi et quelques bourrelés. Donc forcément, ce n’est pas très beau et ça fait prendre conscience d’à quel point le sport est chouette ! Maintenant elle a de belles hanches, un ventre normalement plat, et une jolie poitrine mais pas énorme non plus. La jeune femme aime s’habiller, heureusement n’est-ce pas ? Elle aime essayer des tas de vêtements pour voir ce qui pourrait lui aller le mieux. Très souvent elle met des pantalons, mais des robes ou des jupes lui conviennent aussi bien. En fait, elle n’a pas de préférence particulière, elle se fiche bien de ce que l’on peut penser d’elle et Delilah s’habille selon ses goûts et ses envies. Dernière édition par Delilah G. Ferguson le Mar 27 Jan - 18:03, édité 8 fois

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Sujet: Re: Delilah Gillian Ferguson ●•• 100% Dim 25 Jan - 16:03

«Histoire» Delilah Gillian Ferguson naquit une nuit du vingt sept mai mille neuf cent quatre vingt dix, aux alentours de vingt deux heures. Ce fut un très joli bébé, toute petite et si fragile, les cheveux blonds mais peu de cheveux... Ses yeux bleus ne voyaient pas encore grand-chose de ce grand monde cruel. Pour l’instant, tout ce qu’elle faisait c’était pousser son tout premier cri et boire son premier biberon. Sa mère ne put malheureusement pas l’allaiter dû à quelques problèmes de santé. Elle et Delilah restèrent une semaine à l’hôpital, normalement elles auraient du en sortir plus tôt, mais la maman était incroyablement faible, et bien évidemment on ne pouvait pas séparer l’enfant de sa mère. Tous les jours son papa lui rendait visite, puis le vendredi suivant ils rentrèrent à trois à la maison, à Phoenix. Delilah fit ses premiers pas à dix mois, son premier mot fut « mapapa ». Un drôle de lapsus, mais du moins aucun litige puisqu’elle citait sa mère et son père dans le même mot. Ce qu’ils furent fiers de la voir grandir aussi vite, ses jolis yeux restaient bleus, tandis que ses cheveux en poussant prenaient une teinte plus foncé. Cette petite avait la joie de vivre, toujours le sourire aux lèvres et rendant ses parents plus heureux que jamais. Tout allait pour le mieux pour cette belle famille. Tout ? Mais pour combien de temps... ? Delilah avait maintenant deux ans, une jolie petite fille qui courait partout en rigolant et qui commençait à parler de mieux en mieux. En ce soir là, nous étions le vingt quatre décembre mille neuf cent quatre vingt douze et tout le monde préparait le réveillon de noël. Toute sa famille était là, même ses grands-parents anglais s’étaient déplacés pour passer de très belles vacances avec leur petite fille. Son papa préparait la dinde, sa grand-mère dressait la table, pendant que son grand-père jouait avec elle. Maman Ferguson était partie à l’aéroport pour chercher tonton et tata avec cousins et cousines un peu plus âgées que Delilah. Il n’était que dix sept heures. « Papa, elle vient quand maman ? » Demanda la petite fille qui paraissait s’ennuyée de sa maman, tandis que son papa était encore aux fourneaux. « Bientôt bientôt ma chérie. » « C’est long comment bientôt ? » « Quoi ? Oh Delilah... Maman est partie chercher tonton et tata, le temps qu’ils descendent de l’avion et qu’ils reviennent, ils seront là pour manger donc avant que le père noël ne vienne. » « Chouette ! Mamie, Papy ! Le père noël va veniiiiir !!! » Cria la petite fille en courant dans le salon. « Joey, je commence à m’inquiéter, Katy est partie depuis deux heures déjà et elle n’est toujours pas revenue. De plus, elle n’a pas téléphoné, ce n’est pas son genre. » « Hm... c’est vrai... » « Croyez-vous que... » « Chuut ! Il ne faut pas inquiéter la petite. Je vais essayer de l’appeler. » Le téléphone de Katy Ferguson était éteint, pas moyen de la joindre et elle n’éteignait jamais son téléphone d’habitude. Les adultes se trouvant dans la cuisine commençaient sérieusement à s’inquiéter, lorsqu’ils entendirent la petite voix de Delilah s’écrier que « maman est dans la télé ». Ils coururent dans le salon pour voir ce qu’il se passait. La vérité était que la police encerclait l’aéroport, un hélicoptère volait par-dessus et tous semblaient très attelés à leurs tâches. Une journaliste commenta les évènements, ce qui inquiéta d’autant plus les adultes. « En direct de l’aéroport de Phoenix, cinq hommes armés viennent de prendre en otage un avion tout entier, ainsi que quelques personnes attendant dans le hall. Voyez les images, peu nettes mais on aperçoit tout de même quelques otages, et cet homme qui semble être le leader des terroristes. Cela dur depuis environ une demi-heure et... Oh mon dieu ! Regardez l’homme vient de sortir avec une femme, il la menace apparemment ! Que dit-il ? ... » Delilah regarda ses ainés, tous blancs comme du linge, tous tremblants, puis la petite compris tout d’un coup que quelque chose de grave se passait, alors elle se mit à pleurer. Elle sauta dans les bras de son père en lui demandant si le monsieur allait faire du mal à maman. Il voulu la rassurer, mais que dire ? Lui-même ne savait pas, il priait en lui-même, essayant de ne pas paniquer pour sa fille. Delilah avait les yeux fermés depuis cinq minutes, elle entendait la dame de la télévision parler sans fin. Elle rouvrit les yeux pensant que c’était peut être terminé, que tout cela n’était qu’une blague. Elle n’aurait pas dû, le mieux aurait été qu’elle garde les yeux fermés... Elle vit en direct sa mère se prendre une balle dans la tête, le sang gicla et la belle femme s’effondra par terre, gracieusement... « AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !!! » Ce cri strident ? Delilah, du haut de ses deux ans avait compris ce qui était malheureusement arrivé à sa mère. Elle l’avait vu se faire tuer, et elle savait qu’elle ne reviendrait plus à la maison. Elle pleurait fort, si fort... Son père et ses grands-parents aussi. Ce fut trop dur de retenir les larmes, ils ne dormirent presque pas et le lendemain le téléphone retentit. Delilah espéra de toutes ses forces que ce fut sa maman, les adultes aussi durent espérer que cela ne fut qu’un cauchemar... On leur annonça que madame Katy Millie Ferguson, de son nom de jeune fille Hathaway, était décédée. « Je reviens ce soir ma chérie, je t’aime. » « Me laisse pas papa ! Tu vas pas revenir ! Comme maman ! » Les yeux de Joey Ferguson brillèrent, il retint ses larmes et embrassa sa fille tout en lui promettant qu’il reviendrait ce soir la chercher. Il salua madame Flint, puis il partit. Cela faisait maintenant quatre mois que sa femme était morte, mais la douleur était toujours là, surtout pour Delilah qui de son âge avait bien compris la situation. Dans un mois elle aurait trois ans, et toute sa vie était bouleversée à cause d’un homme égoïste qui avait tué une mère de famille... La petite fille passait ses journées chez les Flint, en septembre elle rentrerait à l’école. En attendant elle allait chez eux, pour l’instant elle restait assise sur le canapé, ne voulant pas jouer et passant ses journées dans un mutisme ou à pleurer. Il y avait trois enfants là-bas, deux frères jumeaux de deux ans plus âgés qu’elle et une petite fille plus jeune d’une année de moins qu’elle. Elle ne savait pas très bien leur nom, enfin si elle les connaissait mais elle s’en fichait. Deux d’entre eux se moquaient d’elle parce qu’elle ne bougeait jamais de son canapé, quand au dernier, il essayait tant bien que mal de lui parler et de jouer avec elle. Un jour, l’un des deux garçons, du nom de Gabriel, vint la voir pour qu’elle joue avec lui. Mais la petite Delilah se mit en colère et le repoussa, au final il se prit une claque sur sa joue qui devint bien vite rouge par le coup. Puis la demoiselle se mit à pleurer et tomba à genoux devant lui, la maman affolée arriva et commença à disputer son fils. « C’est pas lui... C’est moi... ‘Suis désoo... solée Gab...ri...el... » Le petit garçon sourit et la prit dans ses bras, lui disant qu’il ne lui en voulait pas. Depuis ce jour, la petite fille se calma peu à peu, devenant super copine avec lui. Ils se comprenaient mutuellement, et se supportaient dans les épreuves les plus dures, dès l’âge de trois ans pour elle et cinq ans pour lui. « Gabi ! » « Qu’est-ce qu’il y a ? » « Je suis désolée... » « Pourquoi ? » « Je n’aime pas Duncan et Hope... » « Je sais. » « Tu m’en veux ? » La voix de la petite fille tremblait, elle aurait pleuré s’il lui avait répondu oui. Ils avaient huit et dix ans, toujours aussi proches, et Delilah souffrait toujours de la disparition de sa maman. Le moindre choc émotionnel la faisait pleurer. « Non. » Un grand sourire se dessina sur son visage, elle lui fit un bisou sur la joue qu’il s’empressa d’essuyer puis elle partie jouer avec ses copines. Lui la regarda s’éloigner, ils étaient à l’école élémentaire. Pendant leurs années de collège, Delilah et Gabriel étaient toujours amis, elle était en deuxième année et lui en dernière année. Des rumeurs stupides furent lancées sur eux, beaucoup disaient qu’ils étaient amoureux. En général à cet âge, être amoureux c’est « dégoutant ». Surtout du point de vue des élèves de la classe de Delilah, ils réagissaient encore comme des gamins, au plus grand désespoir de la demoiselle. Elle se plaignait souvent auprès de lui, si bien qu’ils finirent par avoir une idée bizarre et idiote... Ils avaient décidés de simuler une grosse dispute, pour détourner toutes les mauvaises langues. Le jour suivant, ils firent comme prévu, au milieu de la cour de récréation, ils se disputèrent comme jamais auparavant. Oh bien sur, c’était un pur cinéma tout cela ! Si bien que leur mise en scène tourna au cauchemar, sans savoir comment ni pourquoi, Gabriel embrassa Delilah. Ce fut son premier baiser qu’elle échangea avec son meilleur ami alors qu’elle essayait de démentir de fausses rumeurs. Elle le repoussa brusquement en le dévisageant, puis elle se sauva et rentra chez elle. La demoiselle manqua deux heures de cours, tout le reste de la soirée elle rumina contre lui, mais encore plus contre elle. Elle ne l’aimait pas, pas comme un amoureux, mais elle ne voulait pas perdre sa si précieuse amitié ! Une semaine passa sans qu’ils ne se parlent, beaucoup de coup d’œil furent jetés. Puis finalement, l’amitié reprit le dessus, il s’excusa et elle aussi, leur belle amitié venait de reprendre... ! « On part au Mexiiique !!! » Delilah était chez elle, dans sa cuisine avec son père, en train de l’embêter plus qu’autre chose parce qu’elle partait dans deux jours au Mexique. Elle avait dix huit ans, elle était belle et blonde, et un sourire heureux s’affichait sur son visage. Ses valises étaient fin prêtes, elle avait vraiment hâte de partir. Non pas que l’idée d’abandonner son père lui plaise, non non ! Mais un voyage, c’est extra ! Deux jours plus tard, son père la déposait devant son lycée, au point de rendez-vous des élèves qui partaient en voyage. Elle regarda son père, les yeux brillants mais l’air sérieux et grave. « J’ai encore rêvé de maman cette nuit... » « Encore... ? » « Elle me disait que je ne devais pas te laisser seul. » « C’est ton inconscient. » « Non ! Je suis sûre que c’est elle ! Pourquoi ne viendrais-tu pas ? » « Voyons Delilah ! » « Alors va en Angleterre voir Mamie et Papy ! Ils en ont temps besoin ! » « Fff... J’y réfléchirais... » Cette phrase fut dite dans un soupir, et Delilah lui sourit. Elle l’embrassa très fort, puis elle sortit de la voiture pour récupérer son sac dans le coffre et rejoindre tous les autres étudiants près au départ. L’excitation était au rendez-vous ! Elle retrouva son ami de toujours, Gabriel Flint. Pendant le voyage au Mexique, elle fit la magnifique rencontre de Julia Segelbach, une fille vraiment superbe avec un accent allemand extra. Une amitié naquit immédiatement entre elles, et elles passèrent le plus clair de leur temps ensembles pendant le séjour. Même le retour ne consuma pas cette nouvelle amitié. Mais lorsqu’ils revinrent tous du Mexique, un terrible choc les attendait... En entrant dans la ville dévastée, Delilah ne put retenir ses larmes et elle explosa en sanglots... Il ne lui restait plus qu’à survivre, comme tout le monde ! «Etat d'esprit après la destruction de Phoenix» « J’étais dans la voiture lorsque nous vîmes les grosses fumées noires s’échappées de Phoenix, les champs étaient brûlés, et lorsque nous entrâmes dans la ville... C’était comme l’apocalypse ! J’étais horrifiée, j’étais choquée et je pleurais à la fois ! Mais qu’est-il donc arrivé ? » La destruction de la ville a anéantie la jeune Delilah. Elle ne comprend pas ce qu’il s’est passé, ni comment cela a pu arriver. Elle est choquée par toutes les horreurs qu’elle ne cesse de voire, en revanche elle éprouve presque de l’admiration pour les habitants ayant survécus, car cela a dû être très difficile... La demoiselle est très perturbée, non seulement parce qu’elle ne comprend rien, mais surtout parce qu’elle craint d’avoir perdu son père. Elle n’est sûre de rien mais est prête à tout pour le retrouver, c’est la seule famille qui lui reste à ce jour... «Famille/Relations» © misscla Gabriel Flint Hayden Christensen Gabriel et Delilah se connaissent depuis leurs deux ans, la petite fille alors passait beaucoup de temps chez lui. Son père l’y déposait avant de partir au travail, puis il la récupérait à son retour. Ces deux jeunes ont deux ans d’écart, mais le caractère mature toujours présent chez Delilah les a rapprochés et aujourd’hui ils s’imaginent difficilement ne plus se voir. Delilah l’adore, peut être comme un frère, à vrai dire elle n’en sait rien mais elle ne pourrait pas se passer de lui. Surtout dans de telles circonstances depuis leur retour à Phoenix. C’est son ami d’enfance, son meilleur ami, ils ont toujours eu l’impression d’être la même personne, ils se comprennent. Pourtant Delilah n’apprécie pas trop son frère et sa sœur... © Emy Arthur Denver Alex Evans A son retour à Phoenix, et toute bouleversée par ce qu’elle découvrait en même temps, Delilah rencontra le demi-frère d’une nouvelle amie à elle, Arthur. Ils sont très vite devenus inséparables tous les deux, presque à titre de « meilleurs amis ». Il faut bien évidemment savoir qu’ils ne s’aiment pas, plus précisément l’idée de sortir ensemble ne leur a jamais traversé l’esprit. Ils en ont même parlés ensembles, pour finir par en rire. C’est ce qui rend leur amitié plus forte, il n’y a aucun amour entre eux mais une amitié très forte. © Misery Angel Julia Segelbach Michelle Trachtenberg Lors de son voyage au Mexique, la demoiselle fit la rencontre d’une autre jeune fille qu’elle trouve superbe ! Elle est allemande et a un léger accent, ce qui amuse pas mal Delilah. Les deux jeunes filles se sont très vite bien entendues, et pendant tout le voyage elles sont restées ensembles. C’est grâce à Julia que la jeune Ferguson rencontra son nouvel ami, le demi-frère de Julia. Dernière édition par Delilah G. Ferguson le Mar 27 Jan - 17:00, édité 5 fois

Yse M. Petterson

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Sujet: Re: Delilah Gillian Ferguson ●•• 100% Dim 25 Jan - 17:48

Bienvenue et bonne chance pour le reste de ta fiche. (: !

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Sujet: Re: Delilah Gillian Ferguson ●•• 100% Dim 25 Jan - 17:52

Merci beaucoup ! =D Je suis dessus, mais je fais sur word pour éviter de mauvaises surprises... >.< M'enfin, cessons le blablatage, je m'y remet !

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Sujet: Re: Delilah Gillian Ferguson ●•• 100% Dim 25 Jan - 20:33

Salut jeune demoiselle ! & Bienvenue Ca fait plaisir que tu es eu un coup de coeur pour notre fow ! x Whouaou ! Bonne conitnuation ! =)

Delilah G. Ferguson

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Sujet: Re: Delilah Gillian Ferguson ●•• 100% Dim 25 Jan - 22:48

Merci ! ^^ Ben y a pas à dire, il est vraiment superbe !! <3

Delilah G. Ferguson

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Sujet: Re: Delilah Gillian Ferguson ●•• 100% Mar 27 Jan - 17:03

« LISTEN TO THIS ! » «Couleur préf.» Vert & Bleu « J’ai toujours adoré ces deux couleurs, mais attention pas toutes les teintes ! Déjà pour ce qui est du foncé, je ne raffole vraiment pas. De mémoire je ne saurais dire lesquelles j’aime, mais ce qui est sur c’est que je préfère le vert. Malgré tout, j’aime toutes les couleurs vives ! » «Animal préf.» Chats « Les chats sont mes animaux fétiches, il faut dire que j’en ai toujours eu depuis que je suis petite. Bon soyons plus précise, j’en ai eu deux, car mine de rien, ils ont vécus longtemps ! Pour dire la vérité, je dis préférer les chats car je peux en avoir facilement, mais j’affectionne tous les félins. » «Livre préf.» Blonde Attitude « J’ai lu un tas de livres, car en effet j’aime lire, et je peux dire que je les ai tous aimés ! Si je n’aime pas je ne le lis pas. J’en ai choisis un, parmi tous, mais en vérité je ne saurais dire lequel est mon préféré... » «Chanson préf.» New York, New York « Tout le monde connait cette chanson de Frank Sinatra, c’est un véritable succès ! Je ne saurais vous dire ce que j’y adore, le rythme, les paroles... C’est un ensemble qui fait que j’aime. Bon de ce côté-là, les chansons sont un peu comme les livres, j’en aime tellement ! Je cite Frank Sinatra, mais j’aurai aussi bien pu mettre Ray Charles. Quoi que là, le choix aurait été nettement plus difficile ! Ou encore Stereophonics, et tellement d'autres... ! » «Odeur préf.» N°5 Chanel « Ne pensez pas que j’aime les parfums de marque, ou autres idées de ce genre. Tout d’abord, quelle fille ne voudrait pas un parfum de Chanel ? Mais ce n’est pas pour cette raison que j’aime cette odeur, il s’agit du parfum de ma défunte maman. Lorsque j’hume cette odeur, son image me revient... » «Goût préf.» Fruits « Il faut bien choisir, non ? J’aime manger, et j’aime pleins de goûts ! Mais il faut bien avouer que les fruits sont un peu comme un pêché mignon, sauf qu’en en mangeant on ne pêche pas puisqu’on ne prend aucun kilo. » « HOLD THE LINE PLEASE » «Prénom» Elodie (Cookie-Smile) «Âge» 17 ans «Comment trouves tu le forum» C’est un veritable coup de coeur, le design est sublissime, le contexte magnifiquement bien écrit ! C’est rare d’avoir un coup de cœur pour un forum. J’adhère complètement ! <3 «Comment as-tu connu le forum» Par Eight-Letters (Ambre C. Petterson) «Célébrité ?» Rachel McAdams <3 « Exemple de RP » Spoiler: « Code du règlement » Yse est passée par là J'ai sous estimé la longueur de mes postes... Ça fait tout brouillon, j'aime pas ça... >.< Bon, et bien il me semble avoir terminé ma fiche ! Enfin ! =D Si quelque chose ne va pas, n'hésitez en aucun cas à me le dire.

William Black

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My life does not look at you. Then cross your road or visits my index card, but I would say to you nothing.

Sujet: Re: Delilah Gillian Ferguson ●•• 100% Mar 27 Jan - 20:58

Je n'est rien à redire, ta fiche est exellente ! =) Tu es donc validée. Have fun !

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Sujet: Re: Delilah Gillian Ferguson ●•• 100%