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 Julia Segelbach "Intelligence plus character, that is the goal of true education"

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Julia Segelbach

Julia Segelbach


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Date d'inscription : 23/02/2009

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ETAT D'ESPRIT: Je tiens le coup. Je suis forte, pour moi, mais aussi pour les autres. Sinon qui le fera ? Pour l'amour du ciel, faites que ce cauchemar cesse.
CITATION: Intelligence plus charactere, that is the goal of true education
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MessageSujet: Julia Segelbach "Intelligence plus character, that is the goal of true education"   Julia Segelbach "Intelligence plus character, that is the goal of true education" Icon_minitimeLun 23 Fév - 22:40


« WHO ARE YOU ? »

« Nom »
Mon nom est SEGELBACH
« Prénom(s) »
Et je m'appelle Julia
« Surnom(s) »
Oui, j'ai un surnom. Le seul. L'unique. Vous pouvez m'appelez Ju'
« Âge »
J'ai eu 18 ans il n'y a pas longtemps
« Origines »
Je suis d'origine Allemande.
« Groupe »
Je fais partie du groupes des étudiants, vous savez, ceux qui étaient en voyage au Mexique.



« WHO'S SPEAKING ? »

« Caractère (min 10 lignes) »
Waw, c'est une chose un peu difficile que vous me demandez là. Enfin... je veux dire, parler de soi. De son caractère. Il faut bien se connaître par cœur non ? Je dois dire que je ne me connais pas sur le bout des doigts. Personne ne se connait sur le bout des doigts de toute façon... Vous comprenez ? Parce que on se découvre toujours une part de nous qui nous était jusque là inconnue. Enfin, je suis désolée, je tourne un peu autour du pot, je me donne le tournie d'ailleurs. Pour vous faire plaisir, je vais essayer de dire ou d'expliquer, non, dire, ou peut être prévenir, bon peut importe. Je le dis. Contrairement à ce que les gens pense, je ne suis pas vraiment ce à quoi il s'imagine à la première impression. Ce n'est pas parce que je suis riche que je suis odieuse... au contraire. Il faut juste se donner la peine de me connaître réellement. Je suis sensible. Tout ce que pense mes proches à mon sujet me touche plus qu'ils ne le pensent. En bien ou en mal. Mais je ne montre pas vraiment mes sentiments. Je ne les montre pas et je ne les dis pas. Enfin, sauf quand Aaron ou Gaspard me tape sur le système, là je ne me gène pas de les rappeler à l'ordre. *rire* Je peux devenir une vraie lionne quand on s'en prend à ceux que j'aime, Angie en particulier. Je suis prête à tout pour eux. Je les aime vraiment de tout mon cœur. Évidemment je me plein souvent *rire* mais cela ne veut rien dire. Bon d'accord, je peux vraiment être énervante, j'adore titiller les gens surtout quand je sais qu'ils sont susceptibles. Susceptible ? Je le suis *rougis*, je l'avoue que je le suis, mais un peu. Pas à en devenir malade, vous imaginez l'horreur que ça aurait été de me taper?! J'ai un mental d'acier. Je le dois à mon père *sourire mélancolique*. Il m'a toujours dis "Julia, soit forte. Non seulement pour assurer ta sécurité mais en plus celle des autres". Je n'avais jamais vraiment compris ce qu'il voulait dire par là, mais maintenant je le sais. Quoi d'autre ? *réfléchie* Je suis très câline. J'en réclame souvent des câlins et j'en offre souvent. Il n'y a pas de mal à cela, c'est gratuit en plus, autant se faire plaisir.*sourire radieux* Faut pas me chercher sinon on me trouve. Cette phrase veut dire tout ce qu'elle veut dire, le message est saisi. Je suis fiable, loyale et dévouée. L'essentiel est dit je crois... c'est déjà pas mal ! Si je me souviens d'autre chose je vous fais signe.

« Physique (min 8 lignes) »
Mais enfin ! C'est quoi ces questions ? "Parle moi de ton physique". Vous êtes vraiment dingues les gars. Demander ça à une fille c'est pas très décent. J'ai rien à dire sur mon physique. Je suis tout ce qu'il y a de plus ordinaire sur cette terre. Je ne suis pas du genre à me vanter sur mon physique ou à me dénigrer. Je préfère ne rien dire. *rire* Bon, si vous me suppliez. Bon, je suis brune, avec les cheveux assez longs. J'ai les yeux bleu. Le teint très clair. Un nez dans la moyenne je pense. Une bouche en cœur souvent rouge. Non, je vous assure que ce n'est pas du rouge à lèvre, c'est totalement naturel. Elle prenne cette couleur naturellement. Je mesure 1m70. Je mets des tallons. J'ai un style plutôt bohème. En fait, cela dépend de mon humeur du jour. Je peux très bien passer du style classe femme fatale, au style hippie *rire*.

« Histoire (min 15 lignes) »
Avant, je vivais en Allemagne. A la capitale, dans une somptueuse demeure. J'avais tout ce dont j'avais besoin. Mon père et ma mère étaient reconnue. Mon père, Jake, était acteur et ma mère, Helena, était la créatrice de la société Segelbach. Elle en était la Présidente Directrice Général et tout fonctionnait très bien. Mon père était souvent en tourné, ma mère à des réunions importantes tard le soir et moi j'étais à la maison avec ma nounou. J'ai tout eu sauf l'amour véritable d'une mère et d'un père trop pris par le travail. J'étais inscrite dans les écoles les plus sélects et les plus cotés. J'étais la plus populaires. J'étais admiré par tous. On voulait sortir avec moi, moi la jeune de onze ans à l'époque avec des garçons beaucoup plus vieux. Ma nounou avait toujours vu venir ces vautours assoiffés par l'argent. Je signais des autographes comme si c'était moi la star. Toutes les filles voulaient être ma meilleure amie. C'était très fatiguant. Et un jour, lors des rares soirs où mes deux parents étaient sous le même toit, ils avaient décidé de sortir en amoureux. J'avais alors douze ans. Je voulais sortir avec eux parce que je savais que ce moment ne durerais pas. Et j'avais bien raison. Plus tard, dans la soirée, un coup de téléphone, la nounou avec les yeux rougis. On est allé à l'hôpital. C'était fini. Ce soir là, mes parents étaient morts. Ça avait fait la une des journaux le lendemain. J'ai découvert une semaine plus tard, que j'étais l'héritière de la fortune de mes parents mais que je ne pouvais y jouir avant ma majorité. Je fus expédiée aux Etast Unis, à Phoenix, deux semaines plus tard. Chez des cousins dont j'ignorais l'existence. Je ne comprenais pas la langue. J'ai du apprendre. Arthur, mon cousin, c'est lui qui m'a tout appris. Il a toujours été là pour moi. Aujourd'hui je parle très bien à défaut de mon léger accent allemand. J'ai grandi le reste de mon adolescence ici, à Phoenix. J'y ai mes marques te mes repères. J'ai mes amis. Angie, ma belle, la première personne qui m'a adressé la parole lorsque j'ai débarqué ici. Au lycée, avait été organisé un voyage au Mexique. J'y suis allé. Et quand je suis revenu. Plus rien. Le chaos. L'anarchie. Mais que s'est-il passé ?


« Etat d'esprit après la destruction de Phoenix (min 5 lignes) »
Lorsque l'on rentrait de ce voyage en voiture. Je ne me doutais (tout le monde aussi) pas qu'en arrivant au abord de Phoenix, un tel carnage s'offrirait à nous. C'était tellement irréel. Si vous aviez vu toute cette fumé, les oiseaux morts, les chiens morts. C'est étrange qu'il n'y ait pas de cadavre humains. Pas âmes qui vivent. Rien. Comme si les êtres avaient été exterminés. J'en avais eu le souffle coupé. Les professeurs ne savaient quoi dire pour nous rassurer. Il n'y avait rien à dire, ils n'étaient pas rassurés eux même alors... Nous sommes tous secoués. Et moi, moi j'essaie de tenir le coup. Tout le monde craque ici. Il faut bien qu'il y en ait qui ne craque pas, qui rassure les autres et qui prenne les choses en mains. Et c'est ce que je tente de faire tant bien que mal. Heaven J. Wind est sur le point de sombrer dans la folie. Je fais ce que je peux pour l'aider, pour les aider. On est une famille maintenant, on doit se serrer les coudes. On ne sait pas ce qui peut arriver. Dieu seul sait ce qui peut advenir de nous. Et je pris fortement que ce cauchemar éveillé cesse enfin.

« Famille/Relations (min 3 lignes) »
Je n'ai plus de "famille". Mon père et ma mère sont mort quand j'avais douze ans. Je n'ai plus que mon cousin Arthur P. Denver. Il est tout pour moi. Je remercie le ciel qu'il fasse partit des survivants. Nous sommes plus proches que jamais. Angie S. Johnson est ma meilleure amie. C'est la première à m'avoir adressé la parole lorsque je suis arrivé aux Etats Unis. On s'est tout de suite apprécié. Et de fil en aiguille, nous somme devenues inséparables. Elle n'était pas avec moi le jour du drame. Elle a survécut. Merci mon Dieu. Il y a deux hommes dans ma vie : Aaron L. Parker et Gaspard E. Lonson. Ceux sont les deux amoureux de ma vie. Mes idéals masculins. Aaron était avec moi le jour du drame et Gaspard en ville. Je ne sais pas combien de fois je vais remercier Dieu d'avoir sauver tout ce que j'aime, mais merci mon Dieu. Lorsqu'on était au Mexique, j'ai fais la rencontre de Delilah Ferguson. Une fille en or. Elle a un accent qui me fait terriblement rire. *rire*. Je sens que c'est le début d'une amitié.



« LISTEN TO THIS ! »

« Couleur préf. »
Rouge
« Animal préf. »
Aucun
« Livre préf. »
J'en ai plusieurs.
« Chanson préf. »
J'en ai plusieurs aussi
« Odeur préf. »
Ah ah, celle du chocolat
« Goût préf. »
Celle de la fraise


« HOLD THE LINE PLEASE »

« Prénom »
Ah ah ah
« Âge »
19
« Comment trouves tu le forum »
Géant, le contexte est bien recherché. S'inspirer d'une légende c'est géniale
« Comment as tu connu le forum »
On m'a passé le lien, via le forum rpg Duty.com
« Célébrité ? »
Michelle Trachtenberg

« Code du règlement »
Moi, lire le règlement ?!


Dernière édition par Julia Segelbach le Mar 24 Fév - 1:20, édité 1 fois
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Julia Segelbach

Julia Segelbach


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MessageSujet: Re: Julia Segelbach "Intelligence plus character, that is the goal of true education"   Julia Segelbach "Intelligence plus character, that is the goal of true education" Icon_minitimeMar 24 Fév - 1:16

« Exemple de RP »
Vraiment, il existait des tas de types de personnes. sur Terre. Il y avait ceux qui n'existaient pas. Ceux là était carrément invisibles, peut-être le souhait-ils ? C'était complètement ridicule mais hélas il y en avait bien sur ces terres. Et puis, il y avait ceux qui se fichait complètement du monde. Ceux-ci étaient coupés du monde. Dans leurs bulles, tout leurs passait au dessus de la tête. Après venait ceux qui s'inventait un personnage. Ceux qui se cachaient sous leur vêtements, ceux qui s'inventaient des manières. C'étaient les plus pathétiques. Cette jeune fille qui s'était présenté à Juliette de façon si agressive était l'exemple parfait de la dernière catégorie. Vous savez, les nerveux agressifs atteint d'une démence qui n'a pas été découverte jusqu'à présent. Elle était arrivée telle une tornade, le visage complètement défiguré par la haine qui l'habitait et montrait les dents comme une chienne enragée. Elle avait limite de la bave qui lui sortait sur les recoins de sa "gueule". C'était le genre de personne qui attisait immédiatement de la pitié. Et Juliette compatissait. Après tout, il devait bien y avoir des personnes qui se devaient d'essayer de comprende à quoi était dû ce comportement sauvage. Cette brune ressemblait à une dangereuse psychopathe échappée de l'asile. Fallait-il passer une annonce, genre pour que le peuple New Yorkais sache la chose qui rodait dans les rues et prévenir les parents que cet animal côtoyait les murs de Constance ? Juliette la reluquait de haut en bas. En plus de cela, c'était le genre de personne qui étalait ses biens. Sincèrement, on venait en cours pour s'instruire et non pour un défilé de mode, genre "Qui est celle qui s'habille le mieux". Elle avait l'air d'une poupée barbie avec son uniforme- si on pouvait appeler cela ainsi. La pauvre, elle l'avait complètement transformer en une horreur pas possible. On n'avait pas idée de faire subir ça à un vêtement! C'était une chose cruelle et c'était inhumain.

Juliette retira ses écouteurs lorsqu'elle se mit a aboyer quelque chose. Juliette la regardait intensément, essayant de déchiffrer ce qu'elle racontait. Avait-elle idée qu'elle était carrément dangereuse pour les personne qui l'entourait ? Un son ignoble qui sortait d'entre ses lèvres. Un son qui prenait le sens de menace. Juliette la contemplait d'une étrange façon. C'était hallucinant, c'était la première fois que Juliette rencontrait un spécimen pareil. Que fallait-il faire dans des situations pareils ? récemment, Juliette était tombée sur un documentaire à propos des malades mentales. Il y était dit qu'il fallait laisser l'individu faire sa crise et ne surtout pas intervenir. Juliette la regardait, et elle se doutait bien que ce n'était pas une malade mentale, c'était simplement un parasite qui avait surement manqué d'amour dans son enfance et qui déployait sa colère sur autrui. Oh ça y était, ça y était, Juliette réussissait enfin à comprendre. Cette dangereuse folle disait que ce banc était sa propriété privé et qu'il fallait en gros que Juliette déguerpissait. Juliette éclata de rire. Elle riait de bon cœur. C'était tellement drôle. Sincèrement, cette folle était une très bonne comédienne. Arriver comme ça et déclarer qu'un banc était le sien, fallait vraiment oser. Juliette n'eut même pas le temps d'essuyer une larme qui était sur le point de sortir du coin de son œil que l'autre cinglée s'installa à son côté.

-Vraiment, dit-elle en souriant, tu es hilarante !Je n'ai pas régressé à l'époque des hommes préhistoriques pour me battre comme une hyène pour un banc. Par contre, tu as vraiment l'air de croire que tu as déversé ton urine un peu partout pour marquer ton territoire.

Juliette éclata de rire. Si Alexa, ou encore Jemma était là, elle auraient été estomaquées par l'attitude primate qu'avait cette jeune fille. Dénuée de politesse elle s'était jetée auprès de Juliette, histoire que celle-ci se sente obligée de partir. Et bien, c'était raté. Juliette n'avait aucunement l'intention de partir d'ici. Elle était arrivée là la première, et il n'y avait pas une pancarte stipulant qu'ici était une propriété privée.

-Je t'en prie, installe toi à ton aise, balança t-elle ironiquement à l'attention de la délurée.





Honnêtement c’était de la folie que les deux clans fassent une soirée « ensemble ». C’était du suicide collectif. Juliette ne prendrait pas le risque de mettre en danger ses amis dans la cage aux fauves. Elle préférait nettement faire sa soirée, dans un endroit qu’elle aurait prit soin de choisir à l’aide de ses meilleures amies. Comment s’appelait cette fille à côté d’elle déjà ? Bon, pour mettre les choses au clair, elle voulait que les deux clans se mélange, et elle pensait réellement que Juliette allait prendre une décision qui les concernait tous ? Ce n’était pas à Juliette seule de décider, c’était à l’ensemble de sa famille, chaque membre devait donner son propre avis. Ils avaient tous leurs mots à dire. Peut être que du côté des West, leur mode de fonctionnement était autre, que c’était Tania qui les menait tous à la baguette, dans tous les cas, chez les East un seul membre n’agissait jamais au nom de tous. Ce n’était pas digne d’eux et de leur image. Quoique, Juliette forçait un peu, voir souvent les choses, que ses amis penchaient en sa faveur (ce qui jusque là avait toujours fonctionné) elle ne leur avait jamais mit le couteau sous la gorge ou elle ne les avait jamais fait marchander.

Juliette n’appellerait pas cela des préjugés. Cela n’avait rien à voir. Les East Sider étaient bien tranquille dans leur univers et c’était Tania et sa bande qui était venus leur déclarer la guerre, une guerre dont tout le monde ignorait la raison sauf eux évidemment. Qu’elle sache, Juliette et ses amis ne causaient du tord à personne. Ils n’étaient pas aussi lâches, et ils n’avaient pas encore touchés le fond pour chercher des noises juste pour le plaisir. C’était ainsi, ce n’était tout de même pas de leur faute si ils étaient tous nés du bon côté, une cuillère en or massif dans la bouche. Enfin, c’était complètement ridicule d’en vouloir au monde entier parce qu’on n’avait pas tous ce à quoi nous aspirions. C’était à eux de se construire. C’était à eux de devenir des gens importants. Les jeunes de l’Upper East Side ne resteraient pas éternellement chez leurs paternels, ils partiraient tous un jours, voler de leur propre ailes, et tout faire pour être reconnue dans le monde entier, certes avec l’aide précieuse de maman et papa chéri, mais on s’en fichait, chacun devait prendre son destin en main, ne pas se lamenter sur son sort et faire en sorte que le vent tournait en sa faveur.

Et puis, c’était absurde. Au fond, les West Siders se feraient ratatiner. Juliette n’avait aucunement l’intention de les laisser empiéter dans leur quotidien. Juliette avait toujours gagné et ce n’était pas prêt de changer, tant qu’elle était dans son territoire, les règles c’était elle qui les instaurerait. Juliette se trouva subitement ridicule dans son fort intérieur d’avoir imaginé un quart de seconde une trêve entre eux. C’était la guerre. Et la seule trêve qu’il y aurait cela serait quand ils déguerpiraient tous autant qu’ils étaient. C’était à dire, pour toujours. Et pour cela, il fallait sortir les grandes artilleries. Mener une guère ne déplaisait pas tant que cela à Juliette. C’était un excellent moyen de se défouler et de se prouver à elle-même, encore une fois, que personne ne pouvais la doubler. Personne ne l’égalait. Personne n’était plus doué qu’elle quand il s’agissait de mettre en place les plans les plus diaboliques pour descendre l’ennemie et défendre ceux qui étaient chers à son cœur.

- Contre nature ?! Hum... En principe, on ne devrait pas. D'après nos préjugés, on ne devrait pas. Mais tu sais quoi ? Je me fiche de tout cela ! Je n'ai jamais aimé respecter ça.

La façon dont elle avait haussé la voix surpris un peu Juliette. Elle afficha un sourire en coin, un sourire des plus mesquins. Alors, Mademoiselle était-elle un peu trop émotive ? N’était-elle pas capable de garder ses états d’âme pour elle au lieu de les étaler ? Etait-ce un sujet trop sensible pour elle ? Il n’y avait pas de place pour les faibles ici. Elle aurait tout aussi bien pu se la fermer. Juliette commençait à en avoir un peu marre. Elle commençait vraiment à la taper sur le système celle-ci. Etait-ce trop demandé de la boucler ? Que le Bon Dieu fasse quelque chose. Qu’il la fasse taire une bonne fois pour toute ! Mais peut être que Juliette devrait prendre les choses en main et forcer les choses. Parce qu’apparemment, si elle ne faisait rien, personne ne le ferait. Juliette pivota vers la jeune fille, tout en rangeant ses magasine un par un dans son sac. Elle la fixa de ses yeux bleus océan glaciales.

-Alors écoutes moi bien… Juliette s‘arrêta une seconde. Elle ne connaissait pas son prénom. Elle reprit tout de même. Peut importe comment tu t’appelle, je ne veux pas le savoir, sans vouloir te vexer. Elle continuait de ranger ses magasines dans son sac. Juliette allait sans doute se contredire par rapport à ce qu’elle avait dit auparavant mais elle s’en fichait, ce n’était pas elle, là c’était elle qui parlerait, la vraie et unique Juliette. Il n’y a pas de « on » en premier lieu. Il y a nous et pluuuuuuus loin il y a vous. Alors, je vais te dire, continua t-elle en joignant ses deux mains parfaitement parfaites. Même s’il s’agit d’une bonne action, nous ne la ferions au grand jamais à vos côtés c’est clair ? Je ne sais pas comment cette idée t’ai venu en tête mais oubli là ok, je n’ai pas besoin de te dire pourquoi. Ensuite, tu sais de quoi moi je me fiche ? Je vais te le dire quand même, je me fiche de tout ce que tu n’aime pas, de tout ce que tu pense, de tout ce qui se rattache à toi d’ailleurs. Je m’en fiche totalement.

-Mais t'inquiète pas, je comprends que tu refuse. Dommage, je pense que ça aurait été une expérience sympa. Elle aurait pu nous faire ouvrir les yeux et nous aider à nous faire notre propre idée de l'autre "clan"

Juliette prit son sac en main, la regarda une dernière fois.

-Alléluia ! Dieu, est-ce vraiment possible que tu comprennes enfin ?! Alléluia ! Juliette regarda sa montre et se leva. J’ai déjà ma propre idée sur votre « clan ». Juliette avait imité la fille en faisant des guillemets à l’aide de ses mains. Et cela me suffit amplement. Elle remit de l’ordre dans son uniforme et lâcha: A présent j’ai d’autres chats à fouetter.

Sur ces dernières paroles, elle remit ses écouteurs, et tourna les tallons. Elle avançait toujours d’un pas décidé. Elle avait un énorme sourire peint sur ses lèvres. Elle ouvrit les grilles, tourna à sa droite, et gravit les marches de Constance une seconde fois. Elle croisa Cassidy à qui elle prit joie de prendre de ses nouvelles après ces vacances. Elle aperçut Jemma et Alexa, bras dessus bras dessous dans le couloir d’en face. Et étrangement, Juliette souriait. Elle était contente. Elle ne haïssait plus A., elle l’aimait… bien, en fin de compte. Et elle n’avait pas de quoi être jalouse puisqu’elle savait qu’elle avait la meilleure place dans le cœur de Jemma, et Alexa n’était pas loin derrière. Mais elle sentait que bientôt, elles seraient toutes à la même place, et cela, dans le cœur de chacune. Le cœur gros, elle entra dans son premier cours de la nouvelle année.
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MessageSujet: Re: Julia Segelbach "Intelligence plus character, that is the goal of true education"   Julia Segelbach "Intelligence plus character, that is the goal of true education" Icon_minitimeMar 24 Fév - 13:31

Alors alors ... ma petite Ju' ! =)
Je viens de lire ta fiche et tu as plutôt une bonne plume, c'est certain. Dommage que tu ne dévellope pas assez , ton histoire aurait pu être plus détaillé ! Smile
Mais ce n'est pas grave, le nombre de lignes est là.

Tu es donc validée ! have fun !
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MessageSujet: Re: Julia Segelbach "Intelligence plus character, that is the goal of true education"   Julia Segelbach "Intelligence plus character, that is the goal of true education" Icon_minitime

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